Du coup j’aimerai beaucoup y retourner en soirée ou par jours de pluie ! Combien de temps prévoir ? À partir du moment où vous passez les portes du Blue Lagoon vous pouvez décider d’y passer la journée si cela vous chante. En effet il n’y a aucune limitation de temps et ça c’est génial ! Cela nous permet de pouvoir profiter de ces derniers (ou premiers) instants en Islande tranquillement sans se soucier de l’heure qui passe. Nous sommes arrivés à 7h et avons du quitter les lieux vers 12h ! Un parking est disponible pour ceux qui viennent en voiture. Si vous êtes en city trip à Reykjavik pour quelques jours sachez que des bus font le trajet. Renseignez vous auprès du visitor center. À quelle heure y aller ? Soit vous êtes matinales et vous serez donc présent dès l’ouverture, soit vers 7h, c’est ce que nous avons fait ! Soit vous préférez dormir dans ce cas la fin d’après midi sera préférable. Vous pourrez rester alors jusqu’à la fermeture. Le matin et le soir sont en général les tranches horaires où il y a moins de monde, évitez la fin de matinée et le début d’après midi. Les horaires d’ouverture varient en fonction de la saison, vous trouverez tous les horaires sur le site officiel du lagon.

Isolée au beau milieu de l’Atlantique, confrontée à des hivers interminables, l’Islande est, selon l’ONU, le pays où l’on vit le mieux sur terre. Un reporter britannique explique pourquoi c’est sans doute vrai. ] du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). En termes de richesse, de santé et d’éducation, voyage CE Islande la société et l’économie islandaises sont championnes du monde. Les faits sont là pour démontrer la vitalité islandaise. Le pays affiche le sixième PIB par habitant du monde. C’est là où l’espérance de vie est la plus élevée pour les hommes, et presque la plus élevée aussi pour les femmes. C’est le pays dont le système bancaire se développe le plus rapidement. Ses exportations montent en flèche. C’est aussi le seul pays membre de l’OTAN qui n’ait pas de forces armées (elles ont été proscrites il y a sept siècles). Et la qualité de la vie est exemplaire : tous les foyers disposent de l’eau chaude courante, fournie directement par les entrailles volcaniques de la Terre ; l’air est d’une pureté de cristal ; et ainsi de suite.

Il n’y a pas d’infrastructure en Islande capable d’accueillir un million de touristes par an et cela doit changer. Des milliers de personnes visitent la chute de Gullfoss et Geysir chaque jour, donc des sentiers en bois ont été construits pour protéger la nature vulnérable de ces régions. Cela commence à se répandre dans la plupart des autres sites touristiques. Maintenir ces sentiers et les entretenir coûtent de l’argent donc l’idée est de proposer un pass Nature ou des frais d’entrée pour certaines (ou tous) les sites touristiques du pays bien que cela n’a pas encore été décidé. A ce jour, le gouvernement a mis en place un système de parking payant à certains sites touristiques dont Thingvellir. Les personnes sont mécontentes de la possibilité de devoir payer pour voyager dans le pays comme cela a toujours été gratuit. Mais, il y aura un prix à payer pour protéger la nature. La pire chose à propos de l’augmentation du tourisme en Islande est le vandalisme. Une fois n’est pas coutume, ce matin, il pleut ! Après notre petit déjeuner, nous reprenons la route en direction de la capitale. Entre Hella et Selfoss, nous nous arrêtons à la cascade Urriðafoss (200 m de piste F302 depuis la N1 ; voir ). Il s’agit d’une petite chute d’eau. Nous passons ensuite Selfoss, puis arrivons à Hveragerði. Hveragerði (ou Hveragerdi) est une ville située sur une zone d’activité géothermique intense (voir ). Les maisons côtoient les fumerolles et les sources d’eau chaude, ainsi que les odeurs de soufre. Un endroit assez surprenant riche en couleurs, malgré le mauvais temps que nous avons ce matin. La piscine publique en plein air est ouverte même au mois d’avril, car elle est alimentée par l’eau chaude qui résulte de cette activité géothermique. Nous quittons ici la route N1, car nous souhaitons rejoindre la pointe de la péninsule de Reykjanes par la côte sud.

La compagnie de bus la plus connue du pays est « Reykjavik Excursions » qui propose des trajets pour se rendre à Jokulsarlon depuis la ville de Hofn et le centre des visiteurs du parc de Skaftafell. Ces lignes incluent toutes un arrêt d’une heure environ à la lagune mais ce dernier peut s’avérer court si le lieu vous attire. Dans ce cas, dormir sur place grâce à votre propre matériel de camping peut être intéressant. Pour vous rapprocher au maximum de Jokulsarlon par les airs, la compagnie Eagle Air Iceland propose, entre autres, des vols entre Hofn et la capitale du pays. Depuis la petite ville de Hofn, vous devrez louer un véhicule ou prendre le bus pour rallier la lagune. La majorité des activités à proximité de Jokulsarlon se tournent vers l’observation de la lagune et des icebergs qui défilent sur ses eaux. Vous pourrez également profiter de sites semblables mais moins connus situés à proximité. Les amateurs de sports de neige auront la possibilité de conduire une motoneige pour la première fois ou de faire de la jeep sur la glace.