Le lac Kleifarvatn est entouré de mystère… En effet, on dit qu’il renferme un ver géant d’un kilomètre de longueur, voyage CE Islande similaire au monstre du Loch Ness. Le lac est entouré d’étranges paysages volcaniques d’un noir profond. Cette excursion en 4×4 vous emmène également voir la zone géothermale de Krisuvík, avec ses fumeroles et ses bains de boue bouillonnants, et l’odeur de soufre dans l’air. Vous ressentirez la puissance de la nature en sentant la terre gronder sous vos pieds. Ensuite, nous nous dirigeons vers le Blue Lagoon pour un moment de détente exceptionnel. Nous pouvons alors vous déposer à l’aéroport de Keflavík sur demande. Cette excursion en Islande est idéale pour ceux qui ne disposent pas de beaucoup de temps mais qui souhaitent tout de même voir un échantillon de l’Islande. L’entrée au Blue Lagoon et le transport vers l’aéroport ne sont pas inclus dans le prix de l’excursion. Cette excursion d’une durée de 7 à 8 heures s’effectue toute l’année.

Lorsque le bassin de Fata est presque plein, le flot est arrêté et l’eau peut chauffer pendant une heure. Lorsqu’elle atteint un certain point d’ébullition, du savon est déversé dedans et en général vous n’attendrez pas longtemps avant de voir des résultats majestueux. Parfois cependant, il y aura un peu d’attente lorsque le savon tourbillonne de manière de plus en plus violente. Enfin, l’ébullition devient explosive et l’éruption commence. Le jaillissement continue pendant une période de temps assez exceptionnelle. Konungshver (« la source royale ») se trouve légèrement au Nord-ouest, au-dessus de Blesi. C’est la source la plus au Nord du champ de Geysir avec Geysir lui-même. Konungshver a obtenu son nom en 1874 lorsque le roi Christian IX a visité Geysir. Konungshver n’a jamais jaillit, car son puits est plein de rochers bien visibles lorsqu’on regarde dans la source, bien qu’elle grogne de temps en temps. Avec un équipement approprié, il serait possible de sortir les rochers et qui sait, Konungshver a peut-être plus d’un tour dans son sac. L’unité monétaire de l’Islande est la couronne islandaise, abrégée ISK. Important : depuis la crise financière de 2008, la couronne fluctue régulièrement. Prenez en compte cette instabilité monétaire au moment de la préparation du voyage et prévoir une certaine marge avec les prix annoncés dans le guide. Certains hôteliers ou prestataires choisissent désormais d’indiquer leurs prix en euros. La devise européenne est de plus en plus acceptée (à Reykjavík en tout cas) ; en revanche, on risque de vous rendre la monnaie en couronnes islandaises. Euros (ainsi que les francs suisses et dollars canadiens) s’échangent sans difficulté dans les banques et les bureaux de change (parfois ouverts le samedi). Pas de commission, mais le taux peut varier un peu (pas inutile de comparer). Cela dit, on trouve partout des distributeurs automatiques acceptant les cartes internationales de paiement, jusque dans les petites villes. Les banques locales vous facturent une commission ou un pourcentage à chaque retrait.

Indépendante du Danemark depuis 1944 seulement, cette fière république a une identité nationale forte qui se retrouve dans son histoire poétique et riche. Les éruptions volcaniques régulières ont créé des paysages spectaculaires partout dans les îles de l’Islande et ce décor naturel est unique au monde. Cette terre menaçante et pratiquement désertique a d’abord été colonisée par les Norvégiens intrépides et leur héritage se retrouve inextricablement ancré dans presque tous les aspects de la vie islandaise. Bien que le littoral islandais ait été accaparé par de nombreux villages et villes, le centre demeure inhabitable et ses perspectives extra-terrestres spectaculaires demeurent captivantes tant pour les artistes que les touristes. L’influence du magma en fusion sous le sol de l’île n’est jamais très loin, avec des sources chaudes, des geysers et des piscines de boue bouillante à découvrir. L’une des attractions naturelles les plus populaires auprès des visiteurs est l’aurore boréale. Souvent visibles entre octobre et mars, ces fameuses illuminations naturelles produisent de magnifiques voiles de couleurs dans le ciel nocturne.

Inutile de préciser que mettre vos mains dans l’eau ce n’est pas une très bonne idée n’est-ce pas? Le dernier arrêt à faire au Cercle d’or c’est la chute de Gulfoss qui doit son nom de « Chutes d’Or » à l’arc-en-ciel qui est parfois visible quand il fait beau. Le beau temps ce n’était pas pour nous alors je ne vais pas vous mentir et vous dire que c’est possible de faire de magnifiques balades, de descendre et toucher l’eau. Ce que nous avons retenu c’est surtout le débit d’eau impressionnant et l’histoire de la sauveuse de Gulfoss qui s’est opposée bec et ongles aux investisseurs étrangers qui voulaient construire une centrale électrique à cet endroit. Un courage sans faille puisque cette dame avait même menacé de se jeter dans les chutes si le projet voyait le jour. Il faut compter une journée pour visiter le Cercle d’Or et avoir un peu de temps pour souffler, se balader et faire des photos. Depuis Borgarnes (en hiver), il faut compter deux heures de route jusqu’à Þingvellir, une heure jusqu’à Geysir et 15 minutes jusqu’à Gullfoss. Depuis Reykjavík, comptez une bonne heure jusqu’à Þingvellir. En hiver, les routes islandaises peuvent être fermées. • Faut-il louer un 4×4 pour rouler en Islande en hiver? Vous avez des questions? N’hésitez pas à les poser dans les commentaires!

Nous cherchons un hébergement et grâce aux panneaux de signalisation, nous trouvons une grande quantité d’hébergements ; la plupart sont vides puisque nous sommes en basse saison. Grâce aux panneaux indicatifs placés sur les routes, il est relativement facile de trouver un hébergement en basse saison. En haute saison, il semblerait qu’il est préférable de réserver. En Islande, tout est bien organisé, même l’indication des hébergements de type hôtel, guesthouse ou farmhouse (exemple de panneau indiquant une farmhouse, proposant deux types de couchage, avec et sans couette et possédant un restaurant). La plupart des hébergements proposent une literie composée de couvertures chaudes ou de couettes. D’autres hébergements, moins chers, proposent de dormir avec son propre sac de couchage. Dans tous les cas, les hébergements sont très propres, confortables, insonorisés et isolés du froid. Il est possible parfois de louer un chalet, un appartement, une partie d’une maison et tout ce qui fait que l’on se sente carrément chez soi. Un des charmes de ce lac provient des pseudo-cratères, comme on peut les observer près de Skútustaðir. Légèrement à l’est du lac se trouve le champ de lave de Dimmuborgir, dont les formes particulières ont fait la réputation du site. Cette région est en effet située sur la dorsale atlantique, d’où de nombreuses manifestations géologiques. Près de Krafla, on peut accéder à un champ de lave encore chaud et fumant : Leirhnjúkshraun. À quelques kilomètres au nord-est de Mývatn se trouve le canyon de Jökulsárgljúfur, dans le parc national du même nom. Cette gorge est souvent considérée comme le Grand Canyon islandais. Le fleuve Jökulsá á Fjöllum se jette dans plusieurs chutes extrêmement impressionnantes : Hafragilsfoss, Selfoss et surtout Dettifoss. Cette dernière, avec ses 40 mètres de haut et ses 100 mètres de large, et un débit maximum de 500 m3/s, est considérée comme la plus puissante d’Europe. Ce canyon attire aussi les touristes par ses paysages très particuliers, de la couleur rouge de la colline Rauðhólar aux paysages chaotiques, en passant par les orgues basaltiques omniprésents sur les parois de la gorge.